26 Janvier 2010-Les portapimentais qui résidaient à Port-au-Prince sont en train de fuir la zone métroplitaine. On apprend que dès le lendemain du terrible tremblement de terre les autobus venant de la capitale arrivaient remplis de passagers et parmi eux de nouveaux venus en quête d’une vie meilleure.
Cependant Port-à-Piment n’a pas l’infractructure nécessaire pour satisfaire les besoins d’un grand afflux de réfugiés. Espérons que l’Etat et plus particulièrement le Département de la Santé Publique saura comment s’y prendre pour équiper et mieux structurer les quelques hopitaux des provinces, utilisant l’aide massive étrangère dont bénéficie le pays. En ce sens, l’Hopital de référence de Port-à-Piment pourrait servir de modèle pour la réhabilitation des structures hospitalières relevant du Département de la Santé Publique.